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Le droit du funéraire est régi par le Code Général des Collectivités Territoriales. Les plus vieux articles datent de 1804. Depuis, plusieurs articles ont été modifiés et ajoutés, en raison des évolutions techniques du secteur, des évolutions culturelles, des évolutions économiques, …
Malgré ces évolutions, certain⸱e citoyen⸱ne ne se retrouve pas dans ce droit funéraire. Des collectifs se sont créés pour militer et faire évoluer le funéraire. Ci-dessous, plusieurs exemples.

La Coopérative Funéraire a pour activité principale d’organiser des obsèques et d’informer les citoyen⸱nes sur le droit funéraire. Une des valeurs de la Coopérative est de minimiser l’impact des obsèques sur l’environnement.
Par conséquent, des opinions sur certaines évolutions du funéraire sont soutenues par la Coopérative.

Les modes de sépultures
Les modes de sépultures autorisés aujourd’hui en France sont l’inhumation et la crémation (les deux en cercueil).
Certains collectifs proposent d’autres types de sépulture (aquamation, terramation/humusation, …). En France, deux associations mettent en lumière la terramation/l’humusation. Il s’agit d’Homo Sapiens et d’Humusation France.

Les accessoires
En France, le cercueil est obligatoire. Ce cercueil doit respecter certains critères. En raison de ces critères, les seuls cercueils vendues ce jour sur le marché sont des cercueils en bois (pin, chêne,…) et en carton. A noter que les cercueils en carton sont parfois refusés par les cimetières ou les crématoriums.
Des structures et des collectifs travaillent sur l’évolution de ce marché, soit en créant des cercueils via d’autres matériaux (papier-mâché, champignons, osier,…), soit en promouvant la levée d’obligation de cercueil.
A titre d’exemple, l’entreprise en construction Pivert.

Les rituels et le deuil

La gestion des cimetières
Les cimetières est une compétence de la mairie. Au-delà du·de la maire, le conseil municipal a également un rôle. En effet, le conseil municipal décide par exemple des durées de concessions, de la proportion terrain privé/terrain commun, … C’est aussi le conseil municipal qui décide des « jardin/rivière/puit » du souvenir, ou encore des forêts cinéraires.
Par conséquent, tous les cimetières ne présentent pas les mêmes dispositions. Dans les environs de Lyon, il n’existe pas de cimetières paysagers ou de forêts cinéraires comme dans la région Grand Est.
Les habitant⸱es peuvent plaidoyer auprès du conseil municipal pour des évolutions dans les cimetières dont ils dépendent.

La prise en charge des obsèques